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31.10 La Honte + suprises – une aprèm à Bohlen
31 octobre 2020 à 13:00 - 19:30
6€SAM 31/10 : La Honte
samedi 31 octobre à 14h
Réservation obligatoire sur jesuisanxieux@gmail.com
Port du masque et stricte respect des normes sanitaires comme tu sais le faire
La Honte
Un professeur d’université quinquagénaire, Louis Worms, couche avec une de ses doctorantes, Géraldine Ruben, venue à son domicile lui poser des questions sur l’avancement de sa thèse. Après quelques semaines, elle signale le comportement du professeur à l’université. Une commission disciplinaire est constituée. Deux professeurs en sont membres : Mathieu Luziro et Clémence Grisou. L’affaire a fait du bruit sur le campus, la commission est accusée de partialité. Aussi est-il décidé d’en rendre les auditions publiques. La Honte suit les travaux de cette commission, qui auditionne séparément le professeur et son étudiante. Peu à peu, nous comprenons que les quatre personnages entretiennent entre eux des relations qu’on n’auraient pu soupçonner…
Auteur : François Hien
Mise en scène : Clémentine Desgranges, Kathleen Dol et François Hien
Interprétation : Gilles Chabrier, Anne De Boissy, Clémentine Desgranges, Kathleen Dol, François Hien
Administration de production / diffusion : Nicolas Ligeon
Régie générale et lumière : Benoit Brégeault
Les pièces que nous montons sont souvent inspirées d‘histoires réelles, ou de débats de société brûlants. Pour autant, il ne s’agit pas d’un théâtre d’actualité, ni d’un théâtre documentaire. Il s’agit simplement de convoquer sur scène un arrière-plan de fièvre et de débat, qui donne urgence et intensité aux histoires que nous déployons.
Nous jouons dans des théâtres et des lieux non-théâtraux. Nous aimons travailler à faire venir des publics peu habitués aux sorties culturelles. Nous concevons notre travail comme à la lisière de l’art et de l’éducation populaire.
Nous ne pratiquons pas un théâtre du Chaos. Nous aimons croire que le théâtre peut donner du sens, s’attaquer aux sujets les plus embrouillés et les éclairer. Nous croyons à la possibilité d’un théâtre de réconciliation. Mais cela ne se décrète pas : cela s’obtient par un travail précis et documenté, où chacun se reconnaît, se sent reconnu, et consent à se laisser déplacer.