- Cet évènement est passé
Corridor + Bryan’s Magic Tears
19 septembre 2017 à 20:30
8€ à 10€@ Le Sonic
🏗 Les Briques du Néant présentent :
Corridor (indie rock ciselé / Montreal, Canada)
https://
Ô Canada, ton front est ceint de fleurons pop glorieux ! Après Chocolat et Bernardino Femminielli, voici venir Corridor, quatre Québécos qui, il y a à peu près cinq ans de cela, ont décidé de soigner leurs poussées d’acnée punk par des onguents exhalant les arômes pop les plus raffinés. Résultat : « Supermercado », un deuxième album électrique, brumeux et doux comme une première caresse, dont les laçures de guitares font fleurir les comparaisons les plus flatteuses (voir ci-dessous). Personnellement, on pense beaucoup à leurs compatriotes non-francophones de Women. Avant de se dire qu’on n’avait rien entendu de si accompli en provenance de la Belle Province depuis le « Trompe-l’œil » de Malajube. Et en plus ils portent des t-shirts Solids.
« L’un des plus exquis exemples de l’âge très faste que vit présentement la pop québécoise. » Libération
« Comme si le Television de « Marquee Moon » et le R.E.M. de « Murmur » s’alliaient pour reprendre le « Forever Changes » de Love sur le matériel de Sebadoh circa « Harmacy ». » Noisey
« Un vrai disque de rock comme on en faisait avant : avant la crise du disque, avant la mort du rock, avant que tu perdes tes cheveux, avant qu’on tombe tous dans l’amnésie générale avec des groupes aux physiques de truites encadrées sous verre. » Gonzaï
+
Bryan’s magic tears (psych rock déguenillé / Paris)
https://soundcloud.com/
Nul ne survit à une rencontre avec la Dame blanche. Exception faite de Benjamin Dupont qui, après avoir survécu à un groupe empruntant son nom à la pasionaria des virages serrés, a choisi de conjurer sa chance en adhérant à La Secte Du Futur le temps d’un hommage lo-fi à un dealer d’acides. Résultat : un premier album puissant, nébuleux et réconfortant comme une première prise, dont les refrains 90’s valent blanc-seing dans les programmations estivales qui comptent (Villette Sonique, Ferme Electrique, Rock en Seine…). Et en plus ils reprennent les Smiths.
« Les Parisiens de Bryan’s Magic Tears naviguent entre des terres lo-fi rugueuses et un horizon sucré idéalisé, en droite lignée des 90’s de Pavement, Royal Trux et Ween revues et corrigées par T-Rex – ou l’inverse, d’ailleurs. » Le Drone
« Vous vous souvenez de ces groupes américains indie lo-fi du milieu des 90’s signés sur des labels injoignables du Midwest qui balançaient des refrains à faire pâlir les Smashing Pumpkins avec le son le plus pourri de l’histoire de l’électricité ? Eh bien sachez que Bryan’s Magic Tears aurait très bien pu être l’un d’entre eux. » Noisey
« Le groupe doit recevoir avec honneur et aussi essuyer moult comparaisons et influences, de The Jesus and Mary Chain à Pavement et bien d’autres qui n’hésitent pas à faire de la poussière avec leurs cordes de guitare. Il a peut-être, et c’est normal, juste envie d’aller draguer encore et encore d’autres planètes. » Libération