The Goon Sax + Raymonde Howard

Sonic présente la nouvelle pépite pop venue d’Australie

jeudi 01 juin 2017
20h30
9 euros

The Goon Sax (Australie / pop)

https://www.facebook.com/TheGoonSax/
https://soundcloud.com/chaptermusic/the-goon-sax-up-to-anything

« Le trio australien The Goon Sax a cette faculté désarmante de pondre des pop songs immédiatement attachantes sans avoir l’air d’y toucher. C’est ça la classe, et elle s’exprime encore sur la chanson éponyme du premier album des musiciens de Brisbane, Up To Anything, qui paraîtra le 11 mars chez Chapter Music. » Magic

Louis Forster, James Harrison et Riley Jones sont tous âgés de 17-18 ans. Ils font de la musique pop. Ils ont des goûts raffinés – ils aiment les Pastels, Talking Heads, Galaxie 500, Bob Dylan et Arthur Russell. Ils parviennent avec brio à capturer la maladresse, le doute de soi et l’excitation viscérale de la vie des adolescents. Leurs chansons sont à la fois immédiatement charmantes et trompeusement profondes.

The Goon Sax s’est formé autour des amis de lycée James et Louis en 2013. Après un mois de cours de batterie , Riley les rejoint début de 2014 pour jouer leur premier concert à peine quelques mois plus tard. Ils ont depuis joué aux côtés de US Girls, Twerps, ou Blanck Realms.

Raymonde Howard (FR / indie rock)

http://raymondehoward.free.fr/
https://raymondehoward.bandcamp.com/

« Après quatre ans de silence, retour en grâce de la fée électrique. Critique et écoute.

Comme Marion Gaume a ramené Mesparrow de Londres, Laetitia Fournier a elle aussi ramené un virus d’Angleterre : Raymonde Howard. Déjà contaminée, avant son départ, par d’autres adorables maladies honteuses de la guitare – le punk-rock, la noise –, la Stéphanoise s’est ainsi libérée loin de ses bases, profitant outre-Manche de l’appel d’air de PJ Harvey. Se fondant dans l’anonymat de cette nouvelle vi(ll)e, elle s’est inventé ce double, cette nouvelle peau et l’eczéma qui la démange, en une musique complexe, acide, qui passe en un saut d’humeur vagabonde du blues le plus rugueux à la soie la plus fine.

De plus en plus ambitieux, de moins en moins renfrogné, son rock épineux s’offre même ici et là d’étonnants moments pop, enjoués et béats (Push the Envelope). Comme sur le nouvel album du Prince Miiaou, cette bravitude, même si brève (15 minutes, 8 chansons), rappelle que chez ces filles électriques de la France libérée la guerre n’est pas finie, mais que les armes, de séduction massive, ont bien changé » in Les Inrocks