Crimesex + Stolearm + Taesa

• CRIMESEX

depte d’une musique électronique à la fois nostalgique et rebelle, Crimesex est l’enfant de l’amour entre le romantisme new-wave et le post-punk survolté des années 80. Il est de ceux qui pensent que l’angoisse face aux problèmes du monde moderne peut être transformée en une danse endiablée.
Derrière un nom emprunté à la plume de Georges Orwell, Crimesex concilie passé, présent et futur avec une efficacité imparable.

• STOLEARM

Stolearm, le projet solo de Luhje Dallage créé en 2005 (à ses 15 ans) avance avec un pied dans la fin des années 80 avec le grain des premiers sons digitaux, et l’autre dans la fibre technoïde propre à son side project GJ106 (ex Gerard Jugno 106). Après 5 ans d’absence il est ressorti de la soute à bagages.
Un squelette de sonorités dures et sombres proches de l’EBM sur lequel viennent pourtant se greffer des mélodies pop flamboyantes, aux relents Shoegaze.
La voix usée de Lühje, plus proche d’un Jaz Coleman sevré au Mark Hollis que d’un Trent Reznor caricatural, humanise la musique froide de Stolearm avec ses tripes et sa fureur.

• TAESA

Tressages mélodiques et paysages rythmiques de ce qu’il se passe dans ma tête.